Kangaryu Team

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    Delirium "Skryloka Sväva" Queen ~ KA-BOOM ♪ !

    Delirium Queen
    Delirium Queen


    Féminin Vierge Rat
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    Delirium "Skryloka Sväva" Queen ~ KA-BOOM ♪ ! Empty Delirium "Skryloka Sväva" Queen ~ KA-BOOM ♪ !

    Message  Delirium Queen Mer 19 Déc - 18:02





    Delirium "Skryloka Sväva" Queen


    WANTED ○ DEAD OR ALIVE
    Skryloka Sväva, surnommée Delirium Queen

    ○ Née un 2/02 (Dix-neuf ans)
    N'a pas pris la peine de se mesurer depuis ses onze ans
    Maigre MINCE.
    Cheveux jais courts, deux mèches rouges.
    ○ Yeux bleus azurs, souvent maquillés.
    ○ Forte tendance à enflammer les objets ou les faire exploser.







    "C'était... EXPLOSIF !"

    Dire que la tristement célèbre Delirium Queen est une folle n'est pas un euphémisme, pour ceux qui se sont intéressés de près à l'affaire, ils auront appris notamment que Skryloka est une schizophrène, à tendance pyromane. Elle ne manque pas d'imagination pour ses crimes et à tendance à se retrouver dans des situations plus compliquées les unes que les autres. Skryloka ne respecte pas ses règles et même celles qu'elle peut parfois s'imposer dans des moments de lucidité ne sont rien. Elle n'a pas peur de blesser ou tuer, ses blessures renforcent sa folie et sa haine pour ce monde. Il a été noté par des spécialistes suivant le cas grâce aux informations récoltées que la jeune femme est une psychopathe, elle manipule, parfois déclare son amour pour une personne et Skryloka n'hésite pas à la jeter dans un immeuble en feu la seconde d'après. Elle est aussi assez lente pour comprendre les situations dans lesquelles elle se trouve mais une fois assimilées, c'est un carnage. Heureusement, elle sait se montrer... "gentille" dans certaines exceptions, certains croient encore au miracle et à une possible guérison...








    "J'suis bonne, je sais !"

    De grands yeux clairs et d'un bleu azurs vous fixent. Ils ont cette lueur de folie qui effraient quiconque croise ce regard. Les longs cils maquillés d'un mascara noir qui bave légèrement sur la peau diaphane - trop blanche par manque de soleil - battent l'air. Les rondeurs d'un visage enfantin ont laissé place à celui d'une jeune femme, fin et aux traits assez banals au final - bien que marqués par les tragiques événements qui lui sont arrivés. Mais elle a ce quelque chose en plus, un charisme qui fait d'elle un être presque admirée. Ses lèvres sont fines, d'un rose délicat et son nez retroussé complètent ce tableau presque angélique. Skryloka a encore des stigmates de son séjour en asile et des petites expériences de Leone, de fines cicatrices blanches parcours le corps de la schizophrène et qu'elle ne cache pour autant pas du tout. Sa tenue vestimentaire lui correspond : totalement anarchique et ne correspondant pas à des critères précis. Elle porte tout ce qu'elle arrive à réunir, grâce au vol notamment et qu'elle range précieusement. La plupart du temps, elle porte des vêtements qui ne pourraient normalement pas être portés ensemble mais Skryloka n'en fait qu'à sa tête. Elle à cette allure de survivante mélangée à celle d'une héroïne tout droit sortie d'un univers fantastique. Et des courbes que ces vêtements mettent en avant. Bref, Skryloka est une sorte d'extraterrestre aux jolies courbes avec un style... particulier. Et des gants un peu spéciaux.





    "CHER JOURNAL ♥,


    Aujourd'hui Papa et Maman ont décidé de faire une surprise pour l'anniversaire d'Oriana ! Je suis tellement heureuse ♥ !" Oriana Celeste Luciano a eu dix ans le deux février, pour fêter cet événement, ses parents ont décidés de l'emmener en balade près d'un magnifique lac, tout est silencieux et rien ne vient les déranger. Elle s'est habillée de sa plus belle robe, une petite princesse toute de blanc et de rose vêtue, ses longs cheveux jais sont coiffés avec délicatesse et de petites fleurs blanches y ont été placées. Ses grands yeux azurs étaient rieurs. C'était une belle journée !

    Oriana Celeste Luciano a dix ans et ses parents sont morts. Des hommes, habillés de noirs sont sortis de derrière les arbres, armés et ses parents ont compris. Ils allaient mourir ici. Oh, ils se sont vaillamment battus, protégeant leur fille comme il le pouvait. Sa mère, sa si belle mère, s'est battue comme une forcenée même après que son mari soit tombé, une balle entre les deux yeux. Le sang avait commencé à se répandre et sa mère avait gardé la tête haute, une épée à une main entre les doigts. Elle était une virtuose avec, mais jamais Oriana ne le saura. Tétanisée, la gamine s'était réfugiée sous une épaisse racine d'un arbre, elle pleurait le plus silencieusement possible, se mordant la main jusqu'au sang pour ne pas hurler. Oriana avait dix ans et la tête de sa mère avait roulé jusqu'à elle, les yeux bleus grands ouverts, une expression froide et meurtrière figée à jamais sur les traits délicats du visage de poupée. Oriana n'avait pas réussi à retenir un cri et un homme, sans doute leur chef, s'était agenouillé devant la branche. Il avait retiré ses lunettes de soleil et l'avait regardé sans rien dire, tremblante et faible. Il n'avait rien dit, avait baissé la tête. En la relevant à nouveau, il lui murmura des mots qui hanteront pendant des années les cauchemars d'Oriana.
    "Tes parents étaient des monstres, nous les avons arrêtés." Et ils étaient partis. Ils étaient partis en laissant une enfant près des corps sans vie de ses parents.

    Oriana avait su plus tard qu'elle était restée sous cette racine près de douze heures, regardant droit devant elle, les larmes ayant cessées de couler après le départ des hommes en noir. Le Boss l'avait regardé à son retour, marchant près de l'un de ses hommes, sans rien dire. Elle avait levée la tête vers le visage de l'ancien chef de ses parents, et il lui avait sourit. Un sourire qui lui avait fait tellement mal.
    "Ne t'inquiète pas, ma jolie, ta tante va prendre soin de toi !" Elle n'avait plus jamais revue la grande maison de sa famille. Ces parents avaient été des tueurs, des mafieux, des hitmans, personne ne les avaient pleurés. Sauf une gosse qui n'avait plus rien et qui venait d'avoir dix ans.

    Oriana Celeste Luciano avait dix ans et un jour lorsque sa tante, une certaine Alda, avait décidé de l'emmener loin de sa Sicile natale. La femme d'une cinquantaine d'années regardait sa nièce de haut, lui parlait seulement pour lui faire comprendre qu'elle devait se taire et ne s'occuper pas d'elle. Alda était une mère maquerelle, elle tenait une grande maison pour de riches clients et elle n'avait certainement pas le temps de s'occuper de la gamine de sa sœur cadette. Oriana resta seulement un mois chez elle, restant pour la plupart du temps à la fenêtre mal isolée de sa minuscule chambre. Un mois après ces événements, Alda décida qu'il était temps pour la gamine de travailler, hors de question qu'elle reste ainsi à regarder les rues animées. Le marché était simple, Oriana devait travailler dans la maison si elle voulait y vivre. Les grands yeux azurs avaient regardés sans comprendre ceux marrons de sa tante. Le lendemain, aux aurores, sa tante la leva pour qu'elle accueille son premier client. L'homme, un puissant marchand qui avait l'habitude de venir très tôt et qui payait bien, ressortit cinq minutes après, des traces de griffures sur toute la joue droite. Furieuse, Alda chercha le moyen le plus rapide pour se débarrasser de cette gamine. Elle eut une idée en passant devant un bâtiment loin de l'agitation.

    Oriana Celeste Luciano fut accueillie dans cet asile sinistre et fermé aux visiteurs, son médecin était un vieil homme qui partait bientôt à la retraite mais qui était assez gentil pour ne rien lui demander. Officiellement, elle se trouvait là pour soigner sa dépression. Les grands yeux azurs fixaient les yeux noirs fatigués de son médecin, lui demandant silencieusement quand elle pourrait sortir.
    "Tu dois guérir et après, je te promets que tu pourras sortir." Oriana hocha doucement la tête, elle avait compris. Mais rien ne s'améliora, au contraire. L'asile où se trouvait Oriana servait de couverture à un large réseau de marchés d'organes. Par chance, ce vieux médecin refusa toujours que l'on touche à sa protégée. Malheureusement pour elle, à sa mort, dix mois après, elle rencontra son nouveau médecin : Leone Agnese. Cet homme marqua la fin de son enfance, et le début de sa folie.

    Il l'avait trouvé intéressante et voilà pourquoi, comme son prédécesseur, il avait refusé de vendre les organes d'Oriana. En échange, il promit de réaliser certains tests sur cette gamine qui posait tant de soucis à la mère maquerelle de la région. Chaque jours, il venait avec différents outils, que ce soit feuilles de papier ou instruments. Oriana était devenue une cobaye de choix qui ne cessait de l'impressionner. Deux ans passèrent, à douze ans, Oriana avait été diagnostiqué schizophrène. Et rien n'allait s'arranger.

    Oriana, qui n'avait plus rien à voir avec la mignonne petite fille de dix ans, regardait de ses yeux vides la porte de sa "chambre". Une pièce capitonnée, rien de plus. Leone lui avait dit qu'il allait passer aujourd'hui. Elle jouait anxieusement avec ses doigts. Avant, elle le faisait avec ses cheveux mais Leone avait décrété que ses longs cheveux le gênait. Ses beaux cheveux d'un noir profond étaient coupés à ras, oh, elle avait pleuré en voyant les longues mèches tomber au sol et avait regardé Leone dans les yeux pour la première fois. Il avait compris le message. Il allait payer pour tout ça. Et cette voix - celle de sa mère ? - qui lui disait d'attendre le bon moment, de ne pas se précipiter. Leone Agnese allait faire une erreur et Oriana lui ferai payer cher. Mais Oriana le savait, ce jour était arrivé.

    Il avait procédé à ces examens habituels, ignorant les gémissements de douleurs d'Oriana et avait pris des notes. Il ne lui dit rien, ne la regarda pas et se leva. Mais contrairement à son habitude, il lui adressa la parole avant d'être sur le pas de la porte.
    "J'allais oublier mais... joyeux anniversaire Oriana." Et il lui tendit un paquet, blanc cassé, entouré d'un ruban rouge. Et il sortit. L'adolescente regarda la présent posé à un mètre d'elle et rassembla ses forces pour se traîner jusqu'au cadeau malgré les douleurs qu'elle ressentait dans les jambes. Elle défit lentement le ruban, veillant à ne rien abîmer et sortit le contenu du petit écrin. Des mitaines noires. Pas en cuir, mais une matière étrange au toucher, rien de ce qu'elle connaissait. Oriana regardait les mitaines suspicieusement. Et elle les essaya. En haussant les épaules, la jeune fille se dit que c'était peut-être une bonne journée et la petite voix lui souffla qu'il était temps. Oriana finit par s'endormir, les mitaines encore aux mains.

    Une semaine plus tard, les habitants de la région purent voir sur une page de leur journal qu'un asile était partit en cendres, personne n'avait réussi à expliquer comment. Le seul à s'en être sortit vivant, un certain Leone Agnese, était mort de ses blessures trois jours après. Tout ce qu'il avait dit avant de mourir avait été vite oublié, de simples délires liés aux douleurs des brûlures en plus des infections et du reste.
    "Je suis désolé, ne fais pas ça, je suis désolé, tu ne sais pas ce que tu fais, arrête ! Ne l'écoute pas ! Je ferai de toi la plus grande combattante, alors arrête !" En une semaine, Leone lui avait montré ce qui avait causé sa perte, le pouvoir de ce que la mafia appelait les Flammes de Dernière Volonté. Et celle d'Oriana était d'être libre. Dans les décombres de cet asile qui abritaient des trafics d'organes, il ne restait que des cendres et un ruban rouge.

    En l'espace de deux ans, alors âgée de quatorze ans, Oriana avait changé de nom. Elle était devenue Skryloka Sväva, connue des services de police pour ses tendances pyromanes. Elle se limitait à quelques voitures, poubelles ou pots de fleurs jusqu'au jour où, par accident, elle mit le feu - de nuit - à un camion situé près d'une benne. Ou plutôt une citerne. L'explosion qui suivit l'impressionna et la laissa pantelante. Un immense sourire se dessina sur le visage de poupée. La police, comme à chaque fois qu'elle devait attraper Skryloka, n'y arriva pas, personne ne savait comment elle faisait mais elle était comme le vent, impossible à arrêter. Et tel le vent, Skryloka Sväva attise le feu.
    "Brûle-les, brûle tout ce monde Skryloka !"

    Cette voix l'accompagnait partout, l'adolescente l'avait surnommée affectueusement Ever, parfois il lui arrivait de la voir et souvent Sväva se demandait comment elle arrivait à la suivre d'aussi près sans se faire voir.
    "Mah, quelle importance ~ ? Kaaaaaaa... ~" Elle recula admirant son travail. "BOUM." Et l'immeuble face à elle s'écroula, des pans de murs entiers s'envolèrent. Ainsi été née Delirium Queen. Elle s'en alla en riant aussi fort qu'elle le pouvait, les mitaines à ses mains luisaient d'un doux rouge.

    Les années passaient, personne ne comprenait comment fonctionnaient ses méthodes ni pourquoi. Aucune règle, sans raison et aucune limite, Delirium Queen s'amusait à brûler tout ce qu'elle avait envie. Elle pillait sans ménagement et il lui arrivait de tuer - bien qu'elle faisait déjà sauter les Hommes. Sa folie grandissait avec elle ; les voix, toujours plus présentes, lui tenaient compagnie et son amour pour le feu, toujours aussi ardent.

    "Pour cette criminelle, la vie n'est qu'un vaste plateau de jeu et qu'elle peut s'amuser à détruire à volonté. Des gens reconstruiront tout pour qu'elle fasse tout exploser à nouveau. Mais, un jour, elle se rendra compte qu'elle n'est pas immortelle et qu'à force de jouer avec le feu, Delirium Queen peut aussi se brûler." - Docteur Agnès Lefebvre



    CRÉDIT - FICHE


    Dernière édition par Delirium Queen le Dim 19 Jan - 18:48, édité 20 fois
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    Message  Delirium Queen Ven 21 Déc - 19:18


    Skryloka was here !


    Au détour d'un chemin... avec Ethan (alias Sherlock) !
    Choisissez vos armes, gamins ! avec Eddo ~ !
    Décadence du Feu avec personne !


    Dernière édition par Delirium Queen le Ven 18 Juil - 2:51, édité 3 fois
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    Message  Delirium Queen Dim 12 Jan - 0:17

    MàJ : ○ Ajout de "Skyrloka was here !" (RP Terminés)

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